Nous voulions partir sur le continent Africain. Après de nombreuses recherches et de réflexions, nous sommes motivées pour partir au BURKINA FASO (en Afrique de l’Ouest).
A partir de là, nous avons commencé à nous renseigner.
En premier lieu, nous nous sommes rendues à l’association de BERNAY (ville d’origine d’Amélie) qui s’occupe principalement d’envois de matériels alimentaires et scolaires au Burkina Faso. Le directeur nous a alors donné les coordonnées d’Aboubakar Dabal, un éducateur burkinabé travaillant à l’action sociale de Kongoussi, et les coordonnées de Sylvie Antoine, médecin scolaire à Mont Saint-Aignan, qui se rend souvent au Burkina dans le cadre de la prévention contre la malnutrition infantile. Nous avons pris contact avec Sylvie Antoine qui nous a aidés à monter notre projet. Elle nous a mis en liaison avec Aboubakar Dabal et avec Zacchari, un éducateur sans frontières à Bobo Dioulasso. De plus, elle nous a fait parvenir une liste de contacts une fois sur place (hôpitaux, personnes à contacter en cas de problèmes, sites à visiter…).
A partir de là, nous avons commencé à nous renseigner.
En premier lieu, nous nous sommes rendues à l’association de BERNAY (ville d’origine d’Amélie) qui s’occupe principalement d’envois de matériels alimentaires et scolaires au Burkina Faso. Le directeur nous a alors donné les coordonnées d’Aboubakar Dabal, un éducateur burkinabé travaillant à l’action sociale de Kongoussi, et les coordonnées de Sylvie Antoine, médecin scolaire à Mont Saint-Aignan, qui se rend souvent au Burkina dans le cadre de la prévention contre la malnutrition infantile. Nous avons pris contact avec Sylvie Antoine qui nous a aidés à monter notre projet. Elle nous a mis en liaison avec Aboubakar Dabal et avec Zacchari, un éducateur sans frontières à Bobo Dioulasso. De plus, elle nous a fait parvenir une liste de contacts une fois sur place (hôpitaux, personnes à contacter en cas de problèmes, sites à visiter…).
Avec l’aide de ces trois personnes, nous avons pu commencer à organiser notre projet (notre hébergement, nos missions,…) et nous entretenons encore aujourd’hui des contacts mails réguliers.
Nous avons su par la suite que la ville de Canteleu, où nous résidons, est jumelée avec la ville de Kongoussi, le premier village où nous nous rendons avec l’ai d’Aboubakar Dabal. Nous avons alors rencontré Mme Fressengeas Michèle, responsable du Comité de jumelage de Canteleu. Elle connaît bien les personnes chez lesquelles nous allons nous rendre. Cette rencontre nous a permis de pouvoir organiser d’avantage notre voyage. Elle nous parlé des procédures pour une demande de visa, de notre sécurité sociale internationale, du permis de conduire international, des vaccins, des démarches à faire à notre arrivée dans le pays (prévenir le consulat de notre arrivée, déposer nos papiers d’identité pour éviter toutes pertes…), de la vie au Burkina Faso, des mentalités… Tout ceci nous a aidés dans nos préparations administratives, et nous a confortées dans notre envie et dans nos motivations pour ce projet.
Nous avons su par la suite que la ville de Canteleu, où nous résidons, est jumelée avec la ville de Kongoussi, le premier village où nous nous rendons avec l’ai d’Aboubakar Dabal. Nous avons alors rencontré Mme Fressengeas Michèle, responsable du Comité de jumelage de Canteleu. Elle connaît bien les personnes chez lesquelles nous allons nous rendre. Cette rencontre nous a permis de pouvoir organiser d’avantage notre voyage. Elle nous parlé des procédures pour une demande de visa, de notre sécurité sociale internationale, du permis de conduire international, des vaccins, des démarches à faire à notre arrivée dans le pays (prévenir le consulat de notre arrivée, déposer nos papiers d’identité pour éviter toutes pertes…), de la vie au Burkina Faso, des mentalités… Tout ceci nous a aidés dans nos préparations administratives, et nous a confortées dans notre envie et dans nos motivations pour ce projet.
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