Nous partons donc en MISSION HUMANITAIRE AU BURKINA FASO EN TANT QUE VOLONTAIRE.
Dans un premier temps, nous allons rejoindre une équipe éducative dont fait parti Aboubakar Dabal, dans la province du Bam, à Kongoussi. Puis, nous irons à Bobo Dioulasso dans une école créée par Zacchari, un éducateur sans frontières, avec des enfants des rues. Au sein des deux villages, nos conditions d’actions et nos actions seront plus ou moins similaires :
- Nous serons logées dans une famille Africaine vivant au sein du village, afin de vivre auprès des personnes, et de pouvoir découvrir un nouveaux pays avec sa culture, son histoire, ses traditions…
- Nous mènerons notre action éducative en lien avec l’action sociale du village en tant que monitrices-éducatrices.
- Nous apporterons un accompagnement et un soutien éducatif auprès des orphelins des rues et /ou en structure, nous interviendrons dans les écoles afin d’apporter nos connaissances scolaires, nous pourrons mettre en place et animer des activités, nous ferons de la prévention auprès des prostituées mineures, ainsi qu’auprès des personnes atteint du VIH.
- Nous mènerons des actions de solidarité, notamment par une contribution au fonctionnement des « maquis-bébés » qui représente une prévention de la malnutrition infantile.
Pour mettre en œuvre nos objectifs, nous avons besoin de prévoir un budget transport car nous allons voyager à travers les différents villages, notamment pour mettre en place une prévention contre la malnutrition infantile par une contribution au fonctionnement des « maquis-bébés » au village de Begembéré, à 35 Km de Kongoussi, là où nous résiderons dans un premier temps. Il faut savoir que l’essence là-bas est aussi chère qu’en France et que les transports peuvent s’effectuer en transports en commun ou en mobylette. Mais parfois, notamment pour visiter les réserves, nous sommes obligées de voyager en voiture, ce qui sous-entend en avoir une et payer l’essence.
Enfin, nous avons prévu un budget internet pour plusieurs raisons. Tout d’abord, ce sera un moyen de communications entre nos différents partenaires burkinabés, mais aussi un moyen de communication avec la France. Internet sera notamment un grand atout dans nos recherches sur place.
Dans un premier temps, nous allons rejoindre une équipe éducative dont fait parti Aboubakar Dabal, dans la province du Bam, à Kongoussi. Puis, nous irons à Bobo Dioulasso dans une école créée par Zacchari, un éducateur sans frontières, avec des enfants des rues. Au sein des deux villages, nos conditions d’actions et nos actions seront plus ou moins similaires :
- Nous serons logées dans une famille Africaine vivant au sein du village, afin de vivre auprès des personnes, et de pouvoir découvrir un nouveaux pays avec sa culture, son histoire, ses traditions…
- Nous mènerons notre action éducative en lien avec l’action sociale du village en tant que monitrices-éducatrices.
- Nous apporterons un accompagnement et un soutien éducatif auprès des orphelins des rues et /ou en structure, nous interviendrons dans les écoles afin d’apporter nos connaissances scolaires, nous pourrons mettre en place et animer des activités, nous ferons de la prévention auprès des prostituées mineures, ainsi qu’auprès des personnes atteint du VIH.
- Nous mènerons des actions de solidarité, notamment par une contribution au fonctionnement des « maquis-bébés » qui représente une prévention de la malnutrition infantile.
Pour mettre en œuvre nos objectifs, nous avons besoin de prévoir un budget transport car nous allons voyager à travers les différents villages, notamment pour mettre en place une prévention contre la malnutrition infantile par une contribution au fonctionnement des « maquis-bébés » au village de Begembéré, à 35 Km de Kongoussi, là où nous résiderons dans un premier temps. Il faut savoir que l’essence là-bas est aussi chère qu’en France et que les transports peuvent s’effectuer en transports en commun ou en mobylette. Mais parfois, notamment pour visiter les réserves, nous sommes obligées de voyager en voiture, ce qui sous-entend en avoir une et payer l’essence.
Enfin, nous avons prévu un budget internet pour plusieurs raisons. Tout d’abord, ce sera un moyen de communications entre nos différents partenaires burkinabés, mais aussi un moyen de communication avec la France. Internet sera notamment un grand atout dans nos recherches sur place.
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