En premier lieu, ce sera surtout un échange de savoirs entre nos différents partenaires de l’action sociale. En effet, les conditions de vie, la culture, les traditions, les religions, les habitudes de vie, l’éducation,… diffèrent de celles de la France. En toute logique, les outils d’intervention et d’actions que nous avons pu mettre en place au sein d’une société française ne seront pas directement transposables au sein d’une société burkinabée. Nous échangerons donc nos savoirs pour que nous puissions adapter notre démarche éducative auprès d’un public avec des racines différentes car nous ne partons pas dans l’idée que nos savoirs sont mieux que les leurs et que nous devons les transposer.
Nous ne partons pas non plus dans l’idée de « sauver le monde » ou de les sauver de leur précarité. Mais nous partons dans l’idée d’apporter une aide. Comme nous avons pu le montrer, c’est un pays vivant dans une grande précarité, manquant de moyens face à leurs difficultés rencontrées (le problème des enfants des rues, le manque de scolarisation des enfants, le développement du phénomène des filles mères,…). A notre niveau, le fait d’apporter une aide humanitaire est une des seules choses que nous pouvons et que nous savons faire.
Nous ne partons pas non plus dans l’idée de « sauver le monde » ou de les sauver de leur précarité. Mais nous partons dans l’idée d’apporter une aide. Comme nous avons pu le montrer, c’est un pays vivant dans une grande précarité, manquant de moyens face à leurs difficultés rencontrées (le problème des enfants des rues, le manque de scolarisation des enfants, le développement du phénomène des filles mères,…). A notre niveau, le fait d’apporter une aide humanitaire est une des seules choses que nous pouvons et que nous savons faire.
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